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Parc Kruger
Ceci était un exercice scolaire qui commence à dater, venu tout droit de l'esprit détraqué de notre professeur de littérature de khâgne (et c'était un bon jour !). Il fallait réutiliser les mots d'un article pour composer un poème. À lire sur l'air de Michel Sardou, Les Lacs du Connemara.
Nuit foncée mêlant
Feux et clairières
Ce matin-là
En y repensant
De sa première
Résistance vers moiDes nuages en bois
Qui tombent de douleur
Le groupe de rangers
A connu la peur
Voici le parc de Kruger
Et les Black MambasEn Novembre dernier
Au temps des nouvelles
Et naturelles
Un feu j'ai senti
Le matin qui veille
Sur cette réserveJe n'avais jamais
Vu auparavant
Des braconniers
Camps abandonnés
Et du gaz poivréJe n'avais jamais
Vécu cette odeur
Les yeux de fierté
Le jeune aveugle
Avec stupeur
Devint rangerJe n'avais jamais
Pu les attraper
Ni les menotter
Le jeune s'est emparé
S'est armé
Et chargeaLà-bas, Belinda Mzimba
Un souvenir d'un ranger
Là-bas, Belinda Mzimba
En Afrique du Sud
Elle patrouilla
Dans la réserve de Kruger
Tags : poème, exercice, étude
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Commentaires
Un prof à l'esprit détraqué? J'auraisaimé voir ça tien!
J'aime bien ce style d'écriture, ça pourrait être amusant de varié de tant en temps.Par contre je n'ai pas trop compris l'histoire de ceci. C'est fait exprès ou c'est moi qui suis stupide?
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Le concept est intéressant et le poème sublime.
Je te remercie ! Quant au concept il a largement été utilisé pendant la période surréaliste, et ce n'est pas évident d'avoir un résultat potable.