• Parc Kruger

    Parc Kruger, poème

       Ceci était un exercice scolaire qui commence à dater, venu tout droit de l'esprit détraqué de notre professeur de littérature de khâgne (et c'était un bon jour !). Il fallait réutiliser les mots d'un article pour composer un poème. À lire sur l'air de Michel Sardou, Les Lacs du Connemara.

    Nuit foncée mêlant
    Feux et clairières

    Ce matin-là
    En y repensant
    De sa première
    Résistance vers moi

    Des nuages en bois
    Qui tombent de douleur
    Le groupe de rangers
    A connu la peur
    Voici le parc de Kruger
    Et les Black Mambas

    En Novembre dernier
    Au temps des nouvelles
    Et naturelles
    Un feu j'ai senti
    Le matin qui veille
    Sur cette réserve

    Je n'avais jamais
    Vu auparavant
    Des braconniers
    Camps abandonnés
    Et du gaz poivré

    Je n'avais jamais
    Vécu cette odeur
    Les yeux de fierté
    Le jeune aveugle
    Avec stupeur
    Devint ranger

    Je n'avais jamais
    Pu les attraper
    Ni les menotter
    Le jeune s'est emparé
    S'est armé
    Et chargea

    Là-bas, Belinda Mzimba
    Un souvenir d'un ranger
    Là-bas, Belinda Mzimba
    En Afrique du Sud
    Elle patrouilla
    Dans la réserve de Kruger

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  • Commentaires

    1
    Dimanche 23 Juillet 2017 à 23:01

    Le concept est intéressant et le poème sublime.

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    2
    Vendredi 9 Février 2018 à 12:07
    Un prof à l'esprit détraqué? J'auraisaimé voir ça tien!

    J'aime bien ce style d'écriture, ça pourrait être amusant de varié de tant en temps.Par contre je n'ai pas trop compris l'histoire de ceci. C'est fait exprès ou c'est moi qui suis stupide?
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